Dams\' s Cars

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Chevrolet Corvette Greenwood (1976)
Chevrolet Corvette Greenwood (1976) :

La Chevrolet Corvette n° 76 (catégorie IMSA) du team IMSA-Camel Greenwood qui a participé aux 24 Heures du Mans 1976, avec au volant, l'équipage : J. Greenwood (USA) / B. Darniche (F).

 

La voiture a abandonné après 5h de course, à cause d'une fuite dans le réservoir d'essence (sans doute à cause des nombreuses crevaisons subies par la voiture). Elle était 9ème sur la grille de départ et a signé son meilleur tour en course en 4'00"600. La course a été remportée par J. Ickx / G. Van Lennep (Porsche 936 n° 20) après avoir parcouru 4769.923 km (349 tours) à la vitesse moyenne de 198.748 km/h. Il s' agit de la troisième des six victoires de J. Ickx (après 1969 & 1975 et avant 1977, 1981 & 1982) et la seconde et dernière victoire de G. Van Lennep (après 1971).

 

Les frères Greenwood sont des spécialistes des Corvette. Ils ont produits quelques séries limitées de voitures modifiées et des voitures de courses. Les 24 Heures du Mans 1976 marque un rapprochement entre l'Europe et les USA. Ainsi, plusieurs américaines type IMSA & Nascar sont autorisées à participer à l'épreuve (Chevrolet Monza & Corvette, Dodge Charger & Ford Torino), mais aucune de ces 4 voitures ne franchira l'arrivée. Greenwood reçoit un chèque de 55000 $ de la part des organisateurs des 24 Heures du Mans afin d' assurer la présence de la grosse Corvette. Mais il n' a pas le temps de construire une nouvelle voiture, spécialement pour la course. Il empreinte donc le châssis 007,préparée pour le championnat IMSA, à Mancuso. La déco et le n° 76 de cette "Spirit of Le Mans" sont un hommage au bicentenaire de l'indépendance américaine, fêtée en 1976. Aux essais, à cause d' un problème de boîte de vitesses, le rallyman B. Darniche (c' est J. Laffite qui était pressenti pour épauler les frères Greenwood) ne peut se qualifier. Mais sa notoriété lui permet de participer quand même à la course. Après un départ très impressionnant (9ème sur la grille, 8ème à 17h), la voiture a connu de nombreux problèmes dont plusieurs crevaisons : d' abord Greenwood puis Darniche qui rejoint malgré tout le stand. Au 28ème tour, Darniche connaît une nouvelle crevaison et tape le rail. Le réservoir est endommagé et le pilote subit les vapeurs d' essence au point de perdre connaissance et de devoir attendre une vingtaine de minutes sur le bas côté. Il rejoindra finalement le stand mais la voiture ne peut être réparée. La victoire doit se jouer entre Porsche, Mirage (vainqueur sortant) et Alpine qui arrive avec une nouvelle voiture, l' A442. Rondeau, engagé sous la marque Inaltera, fait également ses débuts en tant que constructeur. Porsche s' impose non sans trembler et fait triompher pour la première fois un moteur turbo. A noter que l'édition 1976 a été marqué par l'accident fatal de A. Haler, au volant de sa Datsun 240Z, victime d'une sortie de route à Mulsanne, après 7h de course. B. Darniche s'est forgé un superbe palmarès en rallye : champion d' Europe 1976 & 1977 (Lancia Stratos HF puis Fiat 131 Abarth) et champion de France 1972 (Alpine A110 1800), 1976 (Lancia Stratos HF) & 1978 (Lancia Stratos HF puis Fiat 131 Abarth). Cette Corvette (une voiture "client" au départ) a très peu couru et n'a jamais pris sa revanche sur les 24 Heures du Mans, contrairement à ce qu' avait promis Greenwood (manque de sponsors notamment). Elle a changé plusieurs fois de propriétaires mais elle est toujours chez un particulier aux USA. Quelle ligne à couper le souffle !

 

Moteur : V8 7.0 L.

Puissance : 650 CV.

Transmission : propulsion.

Performances : Vitesse maxi : 348 km/h (ligne droite des Hunaudières).

Pneus : Good year ; Sponsors : SPIRIT OF LE MANS / Total / Valvoline.

Palmarès Chevrolet Corvette Greenwood : Finale Daytona 250 Miles 1975.

 

La miniature est signée True Scale au 1/18. Elle vient remplacer ma 1/43 de Bizarre. Les proportions sont impressionnantes, ce qui laisse imaginer les dimensions de la voiture originelle.


Ford Torino (1976)
Ford Torino (1976) :

La Ford Torino n° 90 (catégorie NASCAR) du team Nascar Winston W.C. Donhavey qui a participé aux 24 Heures du Mans 1976, avec au volant, l'équipage : R. Brooks (USA) / D. Hutcherson (USA) / M. Mignot (F).

 

La voiture a abandonné durant la 11ème heure de course (104 tours), à cause d'un problème de boîte de vitesse (surchauffe du pont). Elle était 55ème sur la grille de départ et a signé son meilleur tour en course en 4'36"200. La course a été remportée par J. Ickx / G. Van Lennep (Porsche 936 n° 20) après avoir parcouru 4769.923 km (349 tours) à la vitesse moyenne de 198.748 km/h. Il s' agit de la troisième des six victoires de J. Ickx (après 1969 & 1975 et avant 1977, 1981 & 1982) et la seconde et dernière victoire de G. Van Lennep (après 1971).

 

La Ford Torino est une berline familiale produite de 1968 à 1976 pour le marché nord américain. Cette génération entra en production en 1972 et devint célèbre grâce à la série "Starsky & Hutch" dont elle est une des vedettes. Les 24 Heures du Mans 1976 marque un rapprochement entre l'Europe et les USA. Ainsi, plusieurs américaines type IMSA & Nascar sont autorisées à participer à l'épreuve (Chevrolet Monza & Corvette, Dodge Charger & Ford Torino), mais aucune de ces 4 voitures ne franchira l'arrivée. C' est la Torino qui tiendra le plus longtemps en course, presque jusqu' à la mi-course. La victoire doit se jouer entre Porsche, Mirage (vainqueur sortant) et Alpine qui arrive avec une nouvelle voiture, l' A442. Rondeau, engagé sous la marque Inaltera, fait également ses débuts en tant que constructeur. Porsche s' impose non sans trembler et fait triompher pour la première fois un moteur turbo. A noter que l'édition 1976 a été marqué par l'accident fatal de A. Haler, au volant de sa Datsun 240Z, victime d'une sortie de route, après 7h de course. L' américain Richard "Dick" Brooks revint au Mans une seule fois, en 1982, au volant d' une autre monstrueuse américaine, la Chevrolet Camaro (non classée). Pour Dick Hutcherson, c' est une ultime pige au Mans, dix ans après son unique participation, où il avait terminé à une brillante 3ème place (Ford GT40). Enfin, le français Marcel Mignot participa à onze éditions entre 1972 & 1981. Il pilota de très belles voitures dont certaines font parties de l' histoire du Mans : Porsche 911, Ferrari 365 GTB4, Ford Torino, BMW 320i & M1 Art Cars, Alpine A310, BMW M1 Map et Porsche 935 K3. Son meilleur résultat est une 6ème place obtenue en 1979 au volant de la BMW M1 décorée par Warhol. Après une grosse restauration en 2011, la voiture fit son retour sur les circuits, et en particulier au Mans (Le Mans Classic), en 2012.

 

Moteur : V8 7.0 L.

Puissance : 550 CV environ.

Transmission : propulsion, boîte manuelle 4 rapports.

Pneus : Good year ; Sponsors : Truxmore / STP / Hendrick Construction C.O ...

Meilleur classement Ford Torino : 16ème (24 Heures de Daytona 1976).

 

La miniature est un kit très rare, signé Starter au 1/43. J' avais acheté le kit d' Esdo mais j' ai trouvé ce modèle monté sur Ebay, en très bon état.


Porsche 936 (1977)
Porsche 936 (1977) :

PROCHAINEMENT !!!


BMW 320i "Roy Lichtenstein" (1977)
BMW 320i "Roy Lichtenstein" (1977) :

La BMW 320i n° 50 (catégorie IMSA) engagée par H. Poulain, qui a terminé 9ème des 24 Heures du Mans 1977, avec au volant, l' équipage français : H. Poulain / M. Mignot.

 

La voiture a parcouru 287 tours (3921.27 km à la vitesse moyenne de 163.386 km/h) et termine à 55 tours du vainqueur. Elle termine deuxième de sa catégorie et elle était 49ème sur la grille de départ. Elle a signé son meilleur tour en course en 4'32"500. La course a été remportée par J. Ickx / H. Haywood / J. Barth (Porsche 936/77 n° 4) après avoir parcouru 342 tours (4671.83 km) à la vitesse moyenne de 194.651 km/h. Il s' agit de la quatrième des six victoires de J. Ickx (après 1969, 1975 & 1976 et avant 1981 & 1982) et la première des trois victoires de H. Haywood (avant 1983 & 1994).

 

Cette BMW 320i est la troisième voiture de la lignée des BMW "Art Cars" engagées aux 24 Heures du Mans. Après deux CSL décorées par Calder et Stella en 1975 & 1976, c'est l'artiste américain Roy Lichtenstein qui s'est occupé de la déco. Spécialiste de l'art pop américain, il a repris comme pour ses autres travaux l'univers des comics. Par exemple, les pointillés donnent une impression de vitesse, en se mélangeant au lever et au coucher de soleil. Encore une fois, la voiture est engagée par H. Poulain, un commissaire-priseur passionné d' automobiles. Pilote, il est également à l'origine des "art cars". Même si BMW n'est pas présent officiellement, le constructeur allemand suit de très prés les performances de la voiture. Bien que limitée en puissance (le moteur est celui d'une F2, dégonflé), l' équipage réussira une belle course en finissant 9ème, profitant notamment des nombreux abandons parmi les favoris, Porsche & Alpine en tête. C'est d'ailleurs le constructeur allemand qui remporta l' épreuve (pour la quatrième fois), emmené par un J. Ickx encore une fois époustouflant. Partageant le volant de la n° 3 avec Pescarolo, Ickx est transféré après 4 heures de course sur la n° 4, sa 936 ayant abandonné. A ce moment là, la voiture est 42ème (à 9 tours du leader) à cause d' un changement de pompe à injection en début de course. Pourtant, la 936 n° 4 parviendra à refaire son retard en profitant du talent de ses pilotes et des problèmes du challenger de Porsche, Alpine-Renault, pour qui tout avait bien commencé avant que les voitures abandonnent les unes après les autres. La voiture de tête termine la course sur cinq cylindres, en parcourant deux tours au ralenti, après avoir attendu au stand. Une fois la course terminée, la BMW 320i est allée rejoindre ses sœurs au musée du constructeur. L'artiste R. Lichtenstein est décédé 20 ans après l'aventure de la BMW 320i, c'est à dire en 1997. Le français Marcel Mignot participa à onze éditions entre 1972 & 1981. Il pilota de très belles voitures dont certaines font parties de l' histoire du Mans : Porsche 911, Ferrari 365 GTB4, Ford Torino, BMW 320i & M1 Art Cars, Alpine A310, BMW M1 Map et Porsche 935 K3. Son meilleur résultat est une 6ème place obtenue en 1979 au volant de la BMW M1 décorée par Warhol (associé là aussi à Poulain pour qui il s' agit également du meilleur résultat et à Winkelhock).

 

Moteur : 4 cylindres en ligne 2.0 L.

Puissance : 270 CV.

Transmission : propulsion.

Performances : Vitesse maxi : 245 km/h.

Pneus : Goodyear ; Sponsor : /.

Palmarès BMW 320i (version non turbo) : DRM 1977 [Zolder 1 &2 (triplé), Nurburgring 1 &2 (triplé), Norisring (triplé) & Diepholz]. Italian Gr. 2/4/5 1979 (Magione & Vallelunga), Piestany International 1980, 500 km Brands Hatch 1980, Gr.5 Pergusa 1980, ETCC 1980 [Salzburgring (quadruplé), Brno (quadruplé) & Zolder (doublé)], RT Nurburgring 1982, GTU Laguna Seca 1983. 9 ème des 24 Heures du Mans 1977. 

 

La miniature est signée Provence Moulage (1/43). Après avoir eu un transkit sur base Solido de mauvaise qualité et la version DRM 1977 de Peterson (Minichamps), j'ai trouvé cette version montée, vraiment très belle.

 


BMW 3.0 CSL (1977)
BMW 3.0 CSL (1977) :

La BMW 3.0 CSL n° 72 (catégorie IMSA) du team Luigi Racing qui a participé aux 24 Heures du Mans 1977, avec au volant, l' équipage : T. Walkinshaw (ECO) / C. De Wael (B) / E. Joosen (B).

 

La voiture a abandonné a cause d' un problème moteur lors de la cinquième heure de course. Elle était 47ème sur la grille départ et a signé son meilleur tour en course en 4'30.700. La course a été remportée par J. Ickx / H. Haywood / J. Barth (Porsche 936/77 n° 4) après avoir parcouru 342 tours (4671.83 km) à la vitesse moyenne de 194.651 km/h. Il s' agit de la quatrième des six victoires de J. Ickx (après 1969, 1975 & 1976 et avant 1981 & 1982) et la première des trois victoires de H. Haywood (avant 1983 & 1994).

 

La BMW 3.0 CSL est apparue en 1971. Elle est la version extrême de la sportive CS, elle même issue du coupé E9. Premier projet de BMW Motorsport, l' objectif est de faire de la CSL une bête de course en Groupe 2 notamment. Pour cela, la voiture hérite de gros ailerons et fait l' objet d' une chasse au kilos importante (d' où le L de CSL qui veut dire Leichtbau, léger en allemand). La CSL remporte de nombreuses victoires, que ce soit en Tourisme ou en Endurance (24H Nurburgring, Daytona, Spa, 12H Sebring ...). La CSL deviendra également célèbre grâce à Hervé Poulain qui à l' idée d' engager une CSL décorée par le peintre Calder aux 24 Heures du Mans 1975. C' est la première Art car. En 1977, Porsche remporte sa quatrième victoire tout comme Jacky Ickx. Partageant le volant de la n° 3 avec Pescarolo, Ickx est transféré après 4 heures de course sur la n° 4, sa 936 ayant abandonné. A ce moment là, la voiture est 42ème (à 9 tours du leader) à cause d' un changement de pompe à injection en début de course. Pourtant, la 936 n° 4 parviendra à refaire son retard en profitant du talent de ses pilotes et des problèmes du challenger de Porsche, Alpine-Renault, pour qui tout avait bien commencé avant que les voitures abandonnent les unes après les autres. La voiture de tête termine la course sur cinq cylindres, en parcourant deux tours au ralenti, après avoir attendu au stand. Si la BMW n° 72 abandonne à cause d' un problème moteur, l' autre voiture du team, la n° 71, termine 8ème (meilleur résultat obtenu au Mans par une CSL) et remporte la catégorie IMSA. Le pilote écossais Tom Walkinshaw a disputé 5 fois Le Mans entre 1976 et 1982 pour autant d' abandon. Champion d' Europe de voitures de Tourisme sur Jaguar XJS en 1984, il fonde son écurie TWR (Tom Walkinshaw Racing) dés 1975. Il fut notamment chargé de l' engagement des Jaguar victorieuses au Mans en 1988 et 1990 et il participa grandement au succès de Benetton en F1 en engageant Ross Brawn et Michael Schumacher. Il est décédé en 2010 des suites d' un cancer, à l' âge de 64 ans. Les belges Claude De Wael et Eddy Joosen ne feront aucune autre participation aux 24 Heures du Mans. Joosen, comme Walkinshaw (1981 & 1984) remporte deux fois les 24 Heures de Spa (1977 & 1982).

 

Moteur : 6 cylindres en ligne 3.2L, position longitudinale avant.

Puissance : 340 CV à 7400 tr/min, soit 106.383 CV/L. Rapport poids/puissance : 3.088 s.

Transmission : propulsion, boîte manuelle 4 rapports.

Pneus : Dunlop ; Sponsor : UFO JEANS / Castrol / Cibié.

Palmarès BMW 3.0 CSL : ETCC 1973 [4H Monza,6H Nurburgring (triplé), 24H Spa, Zandvoort (doublé), 6H Paul Ricard (triplé) & Tourist Trophy]; DRM 1973 (Nurburgring 1,2,3 &4 & Kassel-Calden); ETCC 1974 [4H Monza (triplé), 4H Salzburgring (triplé), Vallelunga & 24H Spa]; NTK Zandvoort 1974; Sweden Falkenberg 1974; DRM 1974 (Diepholz & Norisring); Knutstorp T/GT 1974; Zolder T/GT 1974; Norisring Trophäe 1974; Düren/Nordheim Zolder 1974; EG Trophy Zolder 1974 1&2; Camel GT 1975 [12H Sebring, Laguna Seca 1&2, Riverside (doublé), Daytona Paul Revere & Talladega); ETCC 1975 (Monza, Brno, Salzburgring & Jarama); Nurburgring T/GT 1975; Nurburgring Goodyear Pokal 1975; DARM 1975 (Hockenheim, Salzburgring & AVUS); NTK Zandvoort 1, 3&4 1975; DRM 1975 [Nurburgring 1 &2 (doublé), Hockenheim, Kassel-Calden]; Sweden 1975 (Mantorp Park & Kinnekulle Ring); AVUS 1975 (doublé); Camel GT 1976 (24H Daytona & Talladega); ETCC 1976 [Monza, Salzburgring (triplé), Brno (doublé), Nurburgring, 24H Spa, Tourist Trophy (doublé) & Jarama (doublé)]; DARM Salzburgring 1976; Zolder T/GT 1976; MEZ MR CZ Most 1976; Zandvoort 1976; 1000 km Kyalami 1976; ETCC 1977 [Monza, Salzburgring (doublé), Mugello (doublé), Pergusa (triplé), Brno, Nurburgring, Zandvoort (triplé), Tourist Trophy (triplé), Zolder (doublé), Jarama (quadruplé) & Estoril (quadruplé)]; Salzburgring T/GT/Gr.5 1977; ETCC 1978 [Brands Hatch (doublé), Monza, Mugello (triplé), Salzburgring, Jarama (doublé), Estoril, Zeltweg, Brno (triplé), Zandvoort, Tourist Trophy & Zolder]; ETCC 1979 [Monza, Vallelunga (doublé), Mugello (triplé), Brands Hatch, Jarama (doublé), Brno (doublé), Nurburgring (doublé), Zandvoort (doublé), Salzburgring (triplé), Pergusa (triplé), Tourist Trophy & Zolder]. 8ème des 24 Heures du Mans 1977 (meilleur résultat).

 

La miniature est signée Spark (1/43) superbement monté. Achetée en Allemagne.